Et chaque trajet devient un cours voyage…

Entre Maison Tamboite et Paris, c’est une longue histoire…. débutée en 1912, du côté de la Porte de Clichy, quand la bicyclette est le moyen de déplacement d’un Paris qui sait encore prendre le temps de vivre, une histoire nourrie de rencontres avec ces Parisiens, anonymes ou célèbres, mais toujours inspirants, qui vinrent au fil des ans passer commande de bicyclettes sur-mesure … une histoire qui se prolonge aujourd’hui dans la boutique-atelier d’un passage parisien secret, avec la réalisation de vélos haute couture qui associent confection sur-mesure et raffinement mécanique.

A travers les modèles Henri, Dalou et Marcel, la première collection de Maison Tamboite célèbre la ville, et avant tout Paris, la ville Lumière, capitale de la mode, cité de création et d’inspiration.

 

Paris attire et Paris séduit. On vient du monde entier pour flâner le long de la Seine, prononcer des vœux sur le Pont des Arts ou encore profiter du charme de ses quartiers et marchés les plus typiques. Pourtant, au delà du pittoresque, la ville ne cesse de se renouveler et de surprendre, de se développer, de conjuguer legs de l’histoire et modernité qui dérange… parfois… au début. La Tour Eiffel en son temps, le centre Beaubourg qui fut affublé du surnom « la raffinerie » ou encore la pyramide de Peï qui détonna au sein du Louvre…

…et qui fête cette année ses 30 ans, avec la complicité éphémère de JR.

Il y a un esprit de Paris qui traverse les époques, un soin et un raffinement qui parent chaque réalisation d’une grandeur que la recherche d’efficacité seule ne saurait justifier. Le charme de Paris opère là… avec ce « je ne sais quoi » qui contient invariablement une nuance d’élégance et de style, une touche d’esprit

Maison Tamboite se nourrit de cet esprit, le revendique et restitue, à travers ses créations, un peu de ce que la ville lui apporte jour après jour. Les bicyclettes de sa première collection sont dédiées à un usage urbain et participent ainsi à l’avènement d’une nouvelle mobilité, bénéfique pour les usagers comme pour l’environnement. Car, oui, le vélo demeure le mode de déplacement le plus économe selon le ration énergie/ distance parcourue et, oui, le vélo est pleinement « carbon free ». Mais les bicyclettes Tamboite se parent d’une dimension supplémentaire, elles ont et apportent quelque chose de plus : la part du plaisir

Il y a bien sûr, pour commencer, le plaisir de l’oeil, qui découvre avec surprise la multitude de raffinements, des raccords du cadre aux gaines habillées de cuir en passant par les coloris exclusifs de l’émaillage ou la patine de la selle, ou encore l’éclat des chromes. Cependant ce plaisir ne serait rien s’il ne trouvait son prolongement une fois que vous vous mettez en route.

Premier constat, le trajet se déroule dans un grand confort. La raison en est simple : la bicyclette a fait l’objet d’une réalisation sur-mesure, soit à vos mesures

Tout tombe naturellement et parfaitement sous la main, le corps repose sur les points d’appui avec la bonne répartition et la position est adaptée à l’usage attendu, ni trop droit ni trop penché. A cela s’ajoute la sélection judicieuse des équipements, dont une selle parfaitement dessinée (et réalisée !) et une paire de roues aux jantes en bois renforcée d’une âme carbone.

Deuxième constat, le vélo file tout seul. Ou tout au moins c’est l’impression qu’il vous donne. Le cadre en acier, tel que travaillé par Maison Tamboite, procure cette combinaison de légèreté et d’efficacité qui se traduit en mouvement dès l’impulsion du premier coup de pédale. C’est une question de physique (la discipline scientifique pas le corps de l’athlète !). 

Le cadre restitue l’énergie que vous lui transmettez sans déperdition ni dureté excessive et cela fait toute la différence. Inutile de forcer, votre compagnon respecte votre état de forme et votre choix de rythme. Oubliés, les efforts musculeux des forçats de la route !

Vous voilà donc lancé, l’esprit libéré des considérations pratiques, vous savez que vous êtes bien accompagné… En chemin, vous remarquez la façade d’un immeuble art déco aux bas-reliefs d’inspiration végétale. Plus loin, à un carrefour, vous percevez du coin de l’œil une perspective parfaitement symétrique qui s’élève jusqu’au Sacré Cœur. Une ruelle est momentanément bloquée par un camion en train de livrer, vous vous contentez de ralentir et vous vous faufilez tout en contrôle.

Vous cheminez dans les quartiers les plus denses et remarquez que la route à suivre se dessine aussi au-dessus de votre tête par une voie lumineuse taillée entre les façades des immeubles. A ce moment, vous notez une teinte rosée donnée par le soleil à la partie supérieure des immeubles. Une touche de douceur bienvenue. Un peu plus loin, derrière une lourde porte cochère entre-ouverte, un passage parisien typique s’offre à votre regard. Vous avez deux minutes ? Vous y pénétrez en tenant votre vélo à la main. Dans le silence de cet espace préservé et gentiment désuet, vous vous amusez des pavés de guingois et saluez la sérénité des multiples plantes en pot.

Vous êtes un peu chez vous, et pourtant déjà si loin…

Mais le devoir vous appelle et vous voilà reparti. Les pistes cyclables s’enchaînent, les bouts de chaussées partagées avec les autres véhicules sont abordés sans appréhension (vous avez rapidement appris à cohabiter avec eux – et la réciproque est grandement vraie aussi), et vous voilà arrivé à destination, presque surpris.

Vous vous étiez organisé. Vous aviez décidé et minuté votre trajet. Tout s’est déroulé comme prévu. Et puis il y a eu aussi la part d’inattendu, ce que vous avez attrapé du regard, de beau, de nouveau, les monuments, les vitrines comme les affiches ou les terrasses de café, ce que la ville a eu à vous offrir de vivant, de neuf, de cosmopolite et d’inspirant, et qui a fait de votre déplacement un court voyage

Avec ses bicyclettes comme sésame et comme guide, et la flamme qu’elle déclare pour sa ville, Maison Tamboite Paris vous invite à la suivre, dans les semaines et les mois à venir, pour une (re)découverte de ce Paris secret… qui ne peut qu’inspirer.

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